Bonjour les Amis,
Ça y est, Kira 4 « Crisis », mon nouveau polar, est disponible dans toutes les librairies depuis fin mai. Comme je vous l’indiquais dans le précédent post, il est publié sous le pseudo de Steven Belly.
Comme promis, voici le résumé / début de l’histoire :
Un attentat ensanglante une manifestation espagnole. Il est revendiqué par La Légion, un groupuscule composé d’anciens de l’ETA., qui réclament la libération de deux hackers finlandais emprisonnés à Madrid.
S’ils n’obtiennent pas satisfaction sous soixante-douze heures, ils menacent de faire exploser une bombe sale dans la capitale espagnole.
Kira est chargée de les rapatrier avant que le gouvernement espagnol ne les livre aux terroristes. Mais elle arrive trop tard...
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Au dos de livre, la « quatrième de couverture » :
– Et si c’était du bluff ? demanda Kira
Corina remua la tête négativement, faisant tinter ses boucles d’oreilles.
– Hélas, non ! Ces terroristes sont déjà opérationnels !
Kira laissa en suspens le croissant qu’elle venait de piocher dans la corbeille et demanda :
– Comment le savez-vous ? demanda Kira, surprise.
– On a reçu, trois jours avant l’attentat, une demande d’extradition du Pentagone. Les Etats-Unis nous mettent la pression pour récupérer au plus vite ces deux hackers. Ils ont commis les mêmes délits sur le territoire américain. Il s’agit également de violation des systèmes informatiques d’entreprise d’armement... nucléaire !
Kira garda le silence. Il était tout à fait envisageable que les terroristes disposent déjà d’un stock de déchets radioactifs pour agir sur le continent européen...
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Qui est Kira Bolan ? La fille de Mack, l’Exécuteur, bras armé de la vengeance contre la Mafia depuis plusieurs décennies ? Une aventurière, jouet de l’organisation Arkangel, qui utilise ses talents informatiques et ses compétences en sport de combat ? Espionne, agent secret d’une puissance inconnue ?
Ces questions demeurent pour l’instant sans réponse, mais Kira forme avec Mack Bolan un duo de choc contre les nouveaux criminels.
Désormais, la vengeance s’écrit aussi au féminin...
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Et voilà, vous savez tout !
Biz à tous
Pascal
Steven Belly, pour l’occase...