Bonjour les amis,
Il y a un an, jour pour jour, je publiais ici-même, un article concernant les jours fériés.
Je n’ai pas pu résister à l’envie de vous le présenter à nouveau aujourd’hui, car finalement c’est toujours aussi vrai !
C’est aussi l’occasion de le présenter aux nombreux visiteurs qui nous ont rejoints depuis.
Je vous le colle ci-dessous.
Les quelques apartés sont en rouge !
En voiture :
Aujourd’hui, c’est férié, alors « relax baby » !
Qu’est-ce que vous faites, vous, ces jours-là ?
Moi, quand je bossais en entreprise (beuark !), j’attendais ça avec impatience !
(Eh bien maintenant que je re-bosse en entreprise, je confirme à mort !)
Déjà, la veille au soir, c’était la fiesta, avec un bon copain (si pas de copine dispo !), une bonne bouteille et un horaire de coucher franchement déraisonnable !
Le problème, c’était qu’à ce régime-là, je ne me réveillais le lendemain que vers midi.
Dés que la chambre et le lit ne tournaient plus, hop ! je me levais !
Le temps d’émerger du coma et de se débarrasser de la casquette de plomb consécutive aux agapes, il était déjà 13h00.
Voici donc venu l’heure de manger.
Après un copieux repas destiné à « remettre en marche » la machine et gommer les stigmates de la fiesta, je me laissais aller à m’allonger un peu sur le canapé, devant la télé !
La torpeur liée à la digestion ne tardait alors pas à m’envahir…
C’est donc tout naturellement, qu’au lieu de fixer mon attention sur la 523ème rediffusion de la saison 8 de « la petite maison dans la prairie », je me laissais glisser doucement…
En général, le réveil se faisait vers… 18h00.
Une bonne douche, un peu de ménage « parce-que-quand-même-là-ça-craint » et bing !
Je me retrouvais à vingt heures… dans une forme olympique… au moment de songer qu’il ne fallait pas traîner vu que le lendemain y’avait boulot !
Malheureusement, ayant roupillé toute la journée (globalement), impossible de trouver le sommeil avant trois heures du mat !
Vous savez, ce sont ces nuits terribles où plus l’heure avance et plus on stresse en imaginant la difficulté (voire la douleur !) qu’on va éprouver quand le réveil va sonner « pour de bon ».
Enfin après :
- M’être relevé seize fois pour fumer une clope.
- Tenté de bouquiner douze fois sans succès.
- Bu trente verres de lait (qui apaise et fait dormir, paraît-il ! sauf aujourd’hui, évidemment, pffff !)
- Avoir supporté les programmes nocturnes du genre : « histoires naturelles : la chasse à la « outarde campetière » dans le quart sud-est de l’Aveyron et les pubs de M6 qui, malheureusement, sont parfois coupées par de brefs morceaux de films ou d’émissions…
Eh bien on finit par enfin trouver le sommeil !
C’est alors que, dans les trente secondes, le réveil se met à hurler : faut y aller !
Avec des cernes aussi profonds que le déficit de la Sécu et « la bouche en fond de cage de perroquet » (Merci San-Antonio pour cette hardie métaphore ! hi hi !), on part se raser mollement !
Arrivé au bureau la tête dans le sac, il n’est cependant pas question d’avouer la vérité !
Tous les autres (disent-ils) ont faits des trucs incroyables (paraît-il) :
- Journée randonnée avec pique-nique en forêt.
- Parcs d’attraction géniaux.
- Escapade dans les châteaux de la Loire.
- Visites au pas de charge d’une demi-douzaine d’expos à la mode, etc.
« Et toi ? » vous balancent-ils d’un air faussement dégagé.
- « Oh ! je te raconte pas, c’était génial… On a fait des trucs avec des potes ! Le délire ! ».
C’est alors que vous constatez qu’ils ont les mêmes cernes que vous sous les yeux et qu’ils regagnent leur bureau en faisant la gueule ! Comme vous !
En fait, vous apprenez que tout ça était du pipeau, lorsqu’à l’occasion du pont suivant, ils claironnent tous :
- « Cette fois, ça va être génial ! La dernière fois j’étais mort de fatigue et j’avais passé la journée à pioncer comme un con, mais ce coup-ci, ça va déménager ! »
Avec un sourire ironique vous écoutez la « version réelle » et ne pouvez vous empêcher d’éclater de rire quand ils ajoutent :
- « Pour commencer, ce soir, on a des copains qui viennent à la maison, ce sont des sacrés fêtards ! On ne va pas boire que de l’eau et on n’est pas couchés ! »
Vous voyez !
Inutile de culpabiliser, on est tous à la même enseigne !
En clair : Vive les jours fériés !! J
Allez, à plus les amis…
Et puis… bonne chance surtout, pour la reprise de vendredi, hi hi !
Biz à tous.
Pascal
Spécialiste des jours fériés à la con !