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Toujours disponible ICI : BLADE 206 dédicacé

 

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1 mai 2008 4 01 /05 /mai /2008 06:50


Bonjour les amis,

 

 

Il y a un an, jour pour jour, je publiais ici-même, un article concernant les jours fériés.

Je n’ai pas pu résister à l’envie de vous le présenter à nouveau aujourd’hui, car finalement c’est toujours aussi vrai !

 

C’est aussi l’occasion de le présenter aux nombreux visiteurs qui nous ont rejoints depuis.

 

Je vous le colle ci-dessous.

 

Les quelques apartés sont en rouge !

 

En  voiture :

 

Aujourd’hui, c’est férié, alors « relax baby » !

 

Qu’est-ce que vous faites, vous, ces jours-là ?

 

Moi, quand je bossais en entreprise (beuark !), j’attendais ça avec impatience !

 

(Eh bien maintenant que je re-bosse en entreprise, je confirme à mort !)

 

Déjà, la veille au soir, c’était la fiesta, avec un bon copain (si pas de copine dispo !), une bonne bouteille et un horaire de coucher franchement déraisonnable !

 

Le problème, c’était qu’à ce régime-là, je ne me réveillais le lendemain que vers midi.

Dés que la chambre et le lit ne tournaient plus, hop ! je me levais !

 

Le temps d’émerger du coma et de se débarrasser de la casquette de plomb consécutive aux agapes, il était déjà 13h00.

Voici donc venu l’heure de manger.

Après un copieux repas destiné à « remettre en marche » la machine et gommer les stigmates de la fiesta, je me laissais aller à m’allonger un peu sur le canapé, devant la télé !

 

La torpeur liée à la digestion ne tardait alors pas à m’envahir…

 

C’est donc tout naturellement, qu’au lieu de fixer mon attention sur la 523ème rediffusion de la saison 8 de « la petite maison dans la prairie », je me laissais glisser doucement…

 

En général, le réveil se faisait vers… 18h00.

Une bonne douche, un peu de ménage « parce-que-quand-même-là-ça-craint » et bing !

Je me retrouvais à vingt heures… dans une forme olympique… au moment de songer qu’il ne fallait pas traîner vu que le lendemain y’avait boulot !

 

Malheureusement, ayant roupillé toute la journée (globalement), impossible de trouver le sommeil avant trois heures du mat !

 

Vous savez, ce sont ces nuits terribles où plus l’heure avance et plus on stresse en imaginant la difficulté (voire la douleur !) qu’on va éprouver quand le réveil va sonner « pour de bon ».

 

Enfin après :

-          M’être relevé seize fois pour fumer une clope.

-          Tenté de bouquiner douze fois sans succès.

-          Bu trente verres de lait (qui apaise et fait dormir, paraît-il ! sauf aujourd’hui, évidemment, pffff !)

-          Avoir supporté les programmes nocturnes du genre : « histoires naturelles : la chasse à la « outarde campetière » dans le quart sud-est de l’Aveyron et les pubs de M6 qui, malheureusement, sont parfois coupées par de brefs morceaux de films ou d’émissions…

 

Eh bien on finit par enfin trouver le sommeil !

C’est alors que, dans les trente secondes, le réveil se met à hurler : faut y aller !

 

Avec des cernes aussi profonds que le déficit de la Sécu et « la bouche en fond de cage de perroquet » (Merci San-Antonio pour cette hardie métaphore ! hi hi !), on part se raser mollement !

 

Arrivé au bureau la tête dans le sac, il n’est cependant pas question d’avouer la vérité !

 

Tous les autres (disent-ils) ont faits des trucs incroyables (paraît-il) :

-          Journée randonnée avec pique-nique en forêt.

-          Parcs d’attraction géniaux.

-          Escapade dans les châteaux de la Loire.

-          Visites au pas de charge d’une demi-douzaine d’expos à la mode, etc.

 

« Et toi ? » vous balancent-ils d’un air faussement dégagé.

-          « Oh ! je te raconte pas, c’était génial… On a fait des trucs avec des potes ! Le délire ! ».

 

C’est alors que vous constatez qu’ils ont les mêmes cernes que vous sous les yeux et qu’ils regagnent leur bureau en faisant la gueule ! Comme vous !

 

En fait, vous apprenez que tout ça était du pipeau, lorsqu’à l’occasion du pont suivant, ils claironnent tous :

-          « Cette fois, ça va être génial ! La dernière fois j’étais mort de fatigue et j’avais passé la journée à pioncer comme un con, mais ce coup-ci, ça va déménager ! »

 

Avec un sourire ironique vous écoutez la « version réelle » et ne pouvez vous empêcher d’éclater de rire quand ils ajoutent :

-          « Pour commencer, ce soir, on a des copains qui viennent à la maison, ce sont des sacrés fêtards ! On ne va pas boire que de l’eau et on n’est pas couchés ! »

 

Vous voyez !

Inutile de culpabiliser, on est tous à la même enseigne !

 

En clair : Vive les jours fériés !! J

 

Allez, à plus les amis…

Et puis… bonne chance surtout, pour la reprise de vendredi, hi hi !

 

Biz à tous.

 

 

Pascal

Spécialiste des jours fériés à la con !

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29 avril 2007 7 29 /04 /avril /2007 07:18

Bonjour les amis,

 

 

Hier, j’ai éprouvé un irrésistible besoin de changer d’air !

M’éloigner de mon clavier et de mon écran pour faire un petit break était nécessaire.

Dès l’aube (10h00), j’ai donc pris ma bagnole pour aller respirer un peu d’air pur à la campagne.

  

Il suffit de s’éloigner d’une centaine de kilomètres de Paris pour retrouver les champs de blé, les ruisseaux clairs et les sensations d’enfance oubliées.

L’idée était donc de fuir la jungle urbaine de vilain béton tagué.

 

Ravi, je songeais à toutes ces belles choses qui m’attendaient, tandis que je suivais mollement le tracteur qui roulait à 35km/h et bloquait la départementale tout en me balançant les gaz d’échappement de son moteur diesel.

Enfin, après avoir perdu une heure de plus que le temps habituel, je rejoignais la modeste maisonnette familiale à l’entrée du département de la Marne.

  

Moulu et à moitié asphyxié (à cause de cette saloperie tracteur…), je me précipite dans le jardin, gai comme un pinson.

Le problème c’est qu’en me précipitant, je n’ai pas vu la toile d’araignée soigneusement tendue entre les deux arbres de l’entrée et je me la suis prise en pleine figure…

C’est à cause de ça que je n’ai pu détecter à temps la taupinière qui formait un monticule au milieu du chemin…

Je me suis donc étalé de tout mon long dans le carré de persil de mère.

 

Ma chemisette blanche est maintenant constellée de terre et de virgules vertes laissées par les végétaux.

 

Qu’à cela ne tienne, rien ne m’empêchera de savourer ma joie !

 

Devant moi, il y a un magnifique lilas mauve et je hume ses senteurs à pleines narines.

L’odeur est étonnante !

J’en fais part à ma mère qui me confirme que leur fermier de voisin vient d’épandre deux bennes de fumier pour fertiliser le champ à côté de notre jardin…

 

Le parfum est tenace mais qu’importe !

Rien ne remplacera le calme de nos chères campagnes verdoyantes !

 

C’est alors qu’un barouf épouvantable se fait entendre et me fait sursauter.

Je lance un regard interrogateur à mon père qui me crie, pour couvrir le bruit :

-         « C’est la nouvelle scierie, de l’autre côté de la rivière ! Ils débitent des troncs à la scie circulaire ! »

-         « Et ça dure longtemps ? » demandais-je naïvement.

-         « Jusqu’à 18h00 ! » avoue-t-il avec un petit sourire contrit.

Je regarde ma montre, il est 11h30 !

 

Bon, je décide d’aller faire une promenade pour m’éloigner de ce boucan infernal.

Le soleil tape ! Je dégouline de sueur.

Mouches et bourdons viennent m’asticoter, m’obligeant à me contorsionner et effectuer une espèce de danse ridicule en plein milieu de la rue…

 

Enfin, je retrouve le petit ruisseau de mon enfance où j’allais pêcher des « épinoches » et des têtards, quand j’étais gamin.

 

Ah ben mince !

A cause du manque de pluie, il est complètement à sec.

Un simple filet, large comme le pouce, s’écoule mollement…

Quelle déception !

Nostalgique, j’avance de quelques pas pour tremper mon doigt dans l’eau fraîche.

C’est alors que mes deux pieds s’enfoncent dans la vase jusqu’aux chevilles.

Ma paire de mocassins et mes chaussettes sont foutues !

 

Les pieds comme deux mottes de terre malodorantes je regagne piteusement

la maison.

La scierie continue son boucan.

Je veux retourner dans le jardin mais ma mère m’indique qu’il ne faut pas, parce qu’un essaim d’abeilles est en formation et qu’ils attendent les pompiers et l’apiculteur pour le déloger !

 

Les senteurs de fumier, avec la chaleur, semblent encore plus vives.

 

Je décide de me rabattre sur les bons produits de la nature et je croque une petite pomme de reinette, du jardin. Sa petite saveur acidulée est un délice.

Jusqu’à ce que je m’aperçoive qu’elle est véreuse et que je viens d’avaler une bestiole non identifiée avec !

 

Enfin, en début d’après-midi, l’essaim est embarqué.

Mon père me demande si je veux lui filer un coup de main pour rentrer les deux stères de bois qu’il vient de recevoir.

J’acquiesce avec enthousiasme, un peu d’exercice me fera du bien !

 

J’empoigne la brouette et commence à charger les buches.

Deux heures plus tard, les mains pleines d’échardes et d’ampoules, je suis en nage.

 

J’ai pris un coup de soleil phénoménal sur le visage, les bras, le cou et les oreilles.

 

La sueur qui me dégouline sur tout le corps se mêle étroitement avec la sciure qui vole de toutes parts, formant une bouillasse indescriptible qui colle et chatouille désagréablement.

 

Enfin, vers 19h00, je regagne la banlieue parisienne.

Je commence par jeter mes chaussures et chaussettes à la poubelle.

La sciure accumulée, disparaît grâce à une bonne douche.

Par contre, je n’avais pas prévu qu’elle formerait un bouchon dans la canalisation et que même une bouteille de « Destop » ne pourrait pas en venir à bout !

 

Je soigne mes mains abimées, badigeonne mes coups de soleil de « Biafine ».

Je suis mort de fatigue.

Cerise sur le gâteau, les pommes du jardin ont manifestement de puissantes vertus laxatives que j’ignorais…

 

 

Ah ! la campagne ! Que de plaisirs raffinés !

Au téléphone, ma mère me demande quand je reviens…

 

Je lui ai fait une réponse évasive, prétextant une grosse charge de travail dans les prochaines semaines.

 

Je vais faire un petit break des champs, histoire de me ressourcer un peu dans le béton.

 

Puis j’ai été choisir un fond d’écran sur le Net.

J’ai pris celui où il y a un champ de blé avec des coquelicots et où on voit des vaches dans le lointain.

 

Pour les prochains mois, ça suffira ! hi hi !

 

Ma convalescence se fera devant mon ordinateur, finalement !

La ville aussi a ses charmes, si on regarde bien !

 

 

A bientôt les amis

 

Pascal

Amoureux de la campagne, qui marque une pause.

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28 avril 2007 6 28 /04 /avril /2007 06:20

Bonjour les amis,

 

Dans la série le ridicule ne tue pas, voici une petite anecdote qui m’est arrivée.

 

En décembre dernier, comme tous les ans, se tenait, le salon du polar à Montigny-les-Cormeilles.

C’était Claude Chabrol qui en était le parrain.

 

D’autres auteurs « collègues de collection » étant présents, j’y suis allé pour me présenter et discuter un peu avec eux.

 

La matinée se déroule super bien et je vois plein de monde.

Et puis d’un coup, je me rends compte que Pascal Dessaint était là aussi.

Connaissant son nom depuis des années, je vais le voir.

Il me dédicace un bouquin et on discute quelques minutes.

 

A ce moment-là Claude Chabrol en personne arrive, entouré d’une cohorte de photographes.

 

Etant de dos, je ne le vois pas s’approcher.

Mon copain, Gilles, qui m’accompagnait, me tape sur l’épaule et me dit :

- « Regarde qui arrive ! ».

 

Je me retourne, et bing !

Me voilà face à face avec Claude Chabrol !

Etant un admirateur du cinéaste, je me retrouve comme une midinette devant son idole !

 

Pensez ! J’ai vu « le Boucher » avec Jean Yanne et Stéphane Audran vers l’âge de dix ans, ce qui m’a permis de faire d’abominables cauchemars durant toute mon enfance et mon adolescence, hi hi !

 

Et là ! Toc ! le miracle se produit :

Le réalisateur s’approche de moi, tend la main et lance :

« Bonjour Pascal ! »

 

Mince, il me connaît !

Interloqué et fou de joie, je tends la main à mon tour et bredouille très respectueusement :

« Bonjour, Monsieur Chabrol ! ».

 

Comme on dit dans les films d’horreurs :

« le Caaaaauuuuuuuuchemar ne faisait que commencer ! »

 

D’un coup, comme un douloureux ralenti, le metteur en scène m’ignore complètement, continue à avancer et serre la main de… Pascal Dessaint.

 

Et je me retrouve comme un con, avec la main en l’air et les photographes qui me bousculent sans ménagement pour que je m’écarte !

Puis le cinéaste s’éloigne sans m’accorder un regard !

 

C’est, comme les appelle Bigard : « Un grand moment de solitude ».

 

Gilles, sur le cul, écarquille les yeux et me lance une oeillade gênée !

 

A ce moment-là, j’ai éprouvé l’envie de :

- Disparaître sous terre

- M’immoler aux brocolis bouillis

- M’asseoir sur le sol et bouder en retenant ma respiration

- Me désintégrer définitivement.

- Retourner bosser chez mon dernier employeur (nan, je rigole, faut pas exagérer ! J)

- Boire huit litres de whisky et aller me coucher…

 

De vous à moi, c’est plutôt cette dernière solution qui me semble la plus cool ! hi hi !

Et puis comme le disait Beaumarchais :

 

Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer !

 

 

Du coup, avec mon pote, on sort et on commence à se marrer.

Puis la rigolade s’est amplifiée et on s’est tapé le fou-rire de la journée !

Aujourd’hui encore, des fois, quand Gilles arrive à la maison, il me tend la main, puis se barre sur le côté, regarde ailleurs et me balance :

-         « Bonjour, monsieur Chabrol ! »

 

Hi hi !

 

Vous le voyez, il se passe toujours des trucs, dans le salons !

C’est pas génial pour l’ego, mais quel pied !

 

Allez, biz et à demain.

  

Pascal

Modeste par obligation, rigolard par goût ! J

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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 05:51

Bonjour les amis,

 

Hier, je « zapouillais » mollement.

 

Il faisait super chaud.

En plus comme j’suis sous les toits, je ne vous raconte pas le sauna !

J’étais donc étalé comme un phoque sur mon canapé avec le ventilateur à fond qui faisait voler le contenu du cendrier dans toute la pièce (le ventilateur, qui faisait voler, pas le canapé, pffff !).

 

J’étais là, peinard, l’œil glauque et les tempes dégoulinantes, en train de nager la brasse dans les miettes des chips de l’apéro.

Je tâchais de digérer avec plus ou moins de bonheur ma boîte de raviolis, dont les reliefs traînaillaient sur la table basse, et je décidais de me dégoupiller une douzième bière…

Soirée classique, donc !

 

Après avoir écouté avec amour nos chers politiciens pendant des heures, drapés dans le manteau (qui commence à fatiguer à force de maltraitance !) de « l’altruisme pour la France », j’avais un peu envie de me pendre…

Tour à tour, ils tentaient de nous démontrer avec toute la « bonne foi » du monde qu’ils étaient de « bonne foi » ! (terme devenu antonyme, pour le coup !).

 

Très rafraîchissant !

(En vieux français, selon le Robert, « rafraîchissant » signifie : qui combat l’échauffement et a des propriétés laxatives) (Véridique ! J)

 

Et soudain, vers 23h, en trifouillant le trou de ma chaussette sale, je vois qu’y a un film qui démarre sur Canal. Du coup je tends l’oreille et j’entends un truc pas mal… 

 

Parenthèse :

Hi hi ! Vous voyez, la vie des auteurs est très classe et romantique, non ?

Vous imaginiez quoi, le soir ?

 

-         Que j’étais en costard trois pièces, genre queue de pie, avec un haut de forme et des gants beurre frais ?

-         Que je passais mes soirées assis à mon écritoire, avec des lorgnons sur le pif et un plume d’oie, en train de noircir des parchemins ?

-         Tout en savourant une tasse de « Earl Grey » par petites touches, tel le Victor Hugo moyen ?

-         Et qu’à mes pieds, un gros chat persan ronronnait d’allégresse en écoutant crépiter le feu de cheminée ?

-         Tandis, que les discrets va-et-vient des domestiques faisaient craquer les parquets de chêne du manoir ?

-         Et qu’y avait une vieille horloge comtoise qui égrenait les minutes avec son lancinant tic-tac métallique ?

-         Et qu’au loin, dans la forêt, quelques loups hurlaient leur faim dans le soleil couchant, tandis que les derniers rayons rougeoyants filtraient à travers les branches des saules du parc ?

 

Nan, nan, je suis comme vous !

J’ai un appartement en ville, des voisins chiants, et tout et tout !

J’ai même pas de chat, j’ai juste un petit « Predator » en plastoc ! (réel , hi hi ! Je les collectionne, les Predator ! Pour les nouveaux : se reporter à la chronique ciné du même nom !)

 

Donc, le soir, comme vous, c’est, apéro, chips, apéro, raviolis, apéro, téloche en jogging informe et tricot de corps douteux et pis dodo quand y’a plus de bière !

Tout comme, vous, je vous dis… J

 

Non, en fait je rigole, j’aime pas la bière, ni les tricots de corps, ni les raviolis en boîte, ni les chips d’ailleurs !  Pis, je déteste les miettes sur le canapé, « passque » ça gratte !

 

Mais bon, faut bien romancer un peu, si on veut rendre la vie plus savoureuse !

 

Bref, c’était un film chiant sur le vilain monde du vilain travail !

(Mais ça, on le savait déjà ! hi hi !).

 

Et à un moment, j’entends une réplique « audacieuse ».

A tel point que je me suis drôlement « tâtouillé » avant de la mettre ici.

Je me suis dis, oh la la ! tout ça !

Tu vas choquer ton auditoire, blabli blabla !

 

Pis à la fin, j’ai dit : « Bof, y sont plus à ça près ! » hi hi !

 

Bon, je vous la livre, brut de fonderie :

 

Quand on a la tête dans le sable, on a le cul à l’air !

 

Certes, je vous le concède, c’est un peu…

...vachement vrai, quand même ! hi hi !

 

Symboliquement, je vous laisse faire l’inventaire du nombre de situations dans lesquelles, on a la tête dans le sable (boulot, pognon, tout ça…) et donc, dans la foulée… vous connaissez la suite !

 

Relativement philosophique, isn’t it ?

 

Des fois, on croit que des trucs sont grossiers, mais non !

 

Ce qui est intéressant, c’est le sens !

Les mots un peu crus ne font qu’amplifier la symbolique.

 

Frédéric Dard, mon « papa de lettres » le savait très bien et les « San-Antonio » contiennent plus de philosophie, tout en nous faisant marrer, que toute la Pléiade réunie… sans nous faire marrer !

 

Croyez pas ?

Nan ?

Ben essayez de lire un San-A, vous verrez !

 

Bon, ben si z’êtes pas convaincus, je retourne sur mon canapé !

Y reste des miettes de chips sous un coussin et j’ai les crocs, hi hi !

 

A demain, les amis pour de nouvelles aventures !

 

 

Pascal

Victor Hugo de banlieue, sponsorisé par Vico. J

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 06:29

 

Bonjour à tous,

 

Nan, nan, je ne cause pas des (interminables) présidentielles !

Les médias se chargent suffisamment de nous gaver « d’infos » en continu…

 

Comme vous êtes de plus en plus nombreux à venir visiter mon « p’tit blog », l’idée est de mener une première petite enquête d’opinion.

 

Je vous propose donc trois questions pour orienter le contenu en fonction de ce que vous préférez.

Ben voui, passque si je commence à faire trop long, z’allez me dire :

 

« Pffff, c’est trop long, son truc,  chuis crevé(e), j’ai pas le temps ! D’autant que ma bagnole cale aux feux rouges, que j’ai foutu du café sur mon pantalon (ou jupe) et qu’y faut encore que je passe à Carrefour faire les courses vu que le petit dernier hurle à la mort parce qu’il n’y a plus de céréales « Chocopops » pour le p’tit dèje!

 

O.K ! O.K ! Arrêtez de hurler !

J’ai compris, donc y’en a que 3 !

Ça vous va ?

 

Z’êtes prêts ? Allez, on y va :

 

1)      Quels sont les thèmes et sujets que vous souhaiteriez voir aborder d’un point de vue humoristique : Films ? programmes télé ?  le boulot et sa cohorte de crapauds ? autre ?

2)      Que faudrait-il ajouter au blog pour qu’il vous plaise davantage ?

3)      Quelle est la catégorie que vous préférez et votre article favori ?

 

Pour répondre, très facile, cliquez : pascal.candia@wanadoo.fr

 

Vous avez juste à reporter le numéro de la question et votre réponse en face.

Et hop hop ! le tour est joué.

 

L’objectif est évidemment de se marrer de plus en plus, tous ensemble.

 

Si vous êtes au boulot, et que vous culpabilisez parce que vous êtes en train de lire ces lignes au lieu de faire un truc chiant, détendez-vous !

 

Voici le dicton du jour qui pourra alléger votre conscience. Je ne sais pas de qui c’est, mais j’aime beaucoup :

 

L’homme n’est pas fait pour travailler. La preuve : cela le fatigue !

Cool, hein ? hi hi !

Allez, je compte sur vos retours !

 

Bonne journée les amis.

Pascal

Sondage cool

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18 avril 2007 3 18 /04 /avril /2007 06:20

 

Bonjour les amis,

 

 

J’ai de plus en plus de visiteurs du blog qui me demandent comment ça se passe pour écrire un livre et le faire éditer…

Ce serait difficile de tout résumer ici, mais je vais essayer d’apporter quelques réponses.

 

Ben déjà, règle numéro 1 : il faut « vraiment aimer écrire ».

Et avant tout, écrire pour être lu.

Donc pour distraire les autres, pas seulement soi…

Ça a l’air idiot comme ça, mais c’est ce qui fera la différence, à la fin.

 

D’autant que dans ce cas, on parle de 300 pages à aligner qui doivent être les plus intéressantes possibles, avec une histoire cohérente et des rebondissements.

On n’est pas dans le cadre d’une carte postale de vacances ou d’un courrier aux impôts, hi hi !

 

Un roman, ça représente des mois de boulot.

C’est passionnant, certes, mais avant tout beaucoup de travail.

Surtout qu’il n’y a pas que l’écriture elle-même…

Le côté création est réjouissant parce qu’on fait ce qu’on veut.

On imagine des situations, des décors, des personnages et on anime tout ça en fonction de ses envies, c’est très cool !

 

Ensuite il y a les corrections : quelques semaines à bûcher sur les dictionnaires, les règles grammaticales, les synonymes, les accords ennuyeux, les conjugaisons irrégulières, les structures syntaxiques, l’articulation nominative et l’organisation des paragraphes.

Il y a aussi la documentation (armes, voitures, procédures…) et les safaris-photos sur le terrain. J’en passe et des meilleures… hi hi !

 

Mais le plus « chaud », c’est qu’après 7 à 9 mois de boulot (pour moi, en tout cas) , quand le livre est fini, le vrai parcours du combattant commence : trouver un éditeur !

Et là les statistiques sont formelles :

1 chance sur 9000 chez un grand et 1 sur 3000 chez un petit !

Il parait qu'en France, il y a près de 10 millions de manuscrits en attente dans les armoires des éditeurs...

En clair, on ne vous attend pas spécialement !

 

Donc, accrochez-vous, les amis !

 

Pour ma part, c’est seulement à ce moment-là que je me suis rendu compte que le plus « facile » était derrière :

Ben, c'était "écrire le livre", finalement ! hi hi !

 

Et que maintenant, je m’attaquais aux vraies difficultés…

Bon, si vous en trouvez un qui apprécie suffisamment votre texte pour se risquer à le publier, on attaque donc la réalisation.

Comptez encore 4 à 6 mois de boulot avec l’éditeur : relectures, corrections, maquettes, changements de dernières minutes, adaptations géographiques, etc. hi hi !

 

Donc une seule règle pour s’accrocher : Persévérance.

 

Dans l’agréable comédie « Hitch, expert en séduction » avec Will Smith, il en donne une définition très juste :

 

La persévérance, c’est poursuivre son action sans tenir compte des obstacles, du découragement et des échecs antérieurs.

 

C’est pour ça que je précisais au début que pour que ça marche, il faut vraiment aimer ça.

Sinon, on se pend très vite au lustre du salon avec le flexible de l’aspirateur.

Ou alors on s’immole aux brocolis bouillis, mais c’est plus douloureux !

 

Ça y est ? Vous êtes prêts ?

Super !

Prenez une feuille, un stylo, et hop !

Le monde est à vous ! ;-)

 

A demain pour de nouvelles aventures.

 

Amicalement vôtre

 

Pascal

Persévérance-man

 

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17 avril 2007 2 17 /04 /avril /2007 07:05

 

Bonjour les amis,

 

Eh ! vous ne vous êtes jamais demandé au moment d’aller vous coucher quel avait été l’instant le plus important de la journée ?

 

Dans le film « Une vie à deux » avec Michelle Pfeiffer et Bruce Willis, tout la famille joue quotidiennement au jeu du « haut et bas ».

 

Chacun doit dire aux autres quel a été son meilleur et son pire moment de la journée !

Vachement fun, non ?

Essayez ça à la maison, c’est rigolo !

  

Et le moment le plus important de la semaine ? du mois ? Pour vous, c’était quoi ?

Ben moi, par exemple, hier c’était :

Le haut :

Découvrir le taux de fréquentation de ce blog pour le week-end (130 pages visitées !) ! hi hi ! J

 

Souvent, c’est quand j’ai bouclé un paragraphe de mon tome 2 et que j’en suis content…

Mais des fois, ça peut être plus terre à terre :

Au dîner, face à une superbe plâtrée de spaghettis al pesto… ce genre de trucs, quoi !

 

 

 

Le bas :

Chaque facture qui échoue dans ma boîte aux lettres… (no comment !) L 

Aujourd’hui, je vous propose donc une phrase qui concerne les bons moments.

C’est tiré du film « Peindre ou faire l’amour » avec l’excellent Daniel Auteuil et la géniale Sabine Azéma.

 

« Au fond, je me demande si la vie n’est pas faite de rares moments isolés d’une extrême importance et d’intervalles beaucoup plus nombreux, dans lesquels ce n’est plus que l’ombre de ces moments qui plane autour de nous ! »

Daniel Auteuil / Peindre ou faire l’amour / DVD /2005

Avec ça, il n’y a plus qu’à s’organiser le plus de bons moments possibles chaque jour !

Ainsi, si vous êtes au bureau et que vous vous ennuyez, allez faire un tour sur « mortderire.com », par exemple !

Ça, c’est un clin d’œil à mes amis Woô Manh et Jacky Pop, (tous deux talentueux et célèbres auteurs de polars), qui trouvent mon blog, je cite :

« vachement subversif… donc génial à tous les plans ! », hi hi !

  

En clair, éclatez-vous !

On ne vit que deux fois ! (voir James Bond…)

 

Allez, à demain les amis.

 

Pascal

Collectionneur de bons moments

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 05:20

 

 

Bonjour les amis,

 

 

Hier soir, pour une fois, la téloche nous a gratifié d’un film sympa.

Tombé dessus par hasard au détour d’un zapping sans espérance, je me suis fais happer... et suis resté scotché jusqu’au bout. Il s’agissait du merveilleux film de Jean Becker : « Les enfants du Marais ».

 

Bien que le connaissant par cœur pour l’avoir déjà savouré de nombreuses fois, je n’ai pas su résister à l’envoutante voix de la narratrice, la très regrettée Suzanne Flon.

 

Le talent des Gamblin, Villeret, Dussollier et Serrault a fait le reste.

Ça m’a même donné l’idée de créer (plus tard), une rubrique films sur mon « p’tit blog ».

 

La beauté des paysages et la douceur de vivre qui se dégagent de ce film me procurent toujours la sensation d’un « plongeon dans une piscine bienfaisante ». Comme lorsque j’attaque la lecture d’un San-Antonio ou que je quitte le béton des villes pour retrouver les senteurs humides d’une forêt.

 

Dans l’inoubliable scène où les trois amis vont « aux » escargots. André Dussollier, dit Amédée, engoncé dans son costume trois pièces et ne cessant de répéter « Quelle aventure ! », nous livre un petit extrait de lecture fort intéressant :

 

« La liberté n’est pas oisiveté. C’est un usage libre du temps. C’est le choix du travail et de l’exercice. Etre libre, en un mot, n’est pas ne rien faire, c’est être seul arbitre de ce qu’on fait ou de ce qu’on ne fait point… »

 

Ça donne envie, non ?

Surtout le lundi matin, d’ailleurs… hi hi !

 

Dernier petit mot :

Vous êtes de plus en plus nombreux à visiter ce blog et je vous en remercie.

N’hésitez pas à en parler autour de vous et à le recommander (case exprès en haut à gauche) pour le faire connaître.

Vis-à-vis des « blog masters », les statistiques montrent que la progression est effective mais ma note générale reste de 08/100 (contre 02/100 en mars, hi hi !).

C’est un début… ;-)

 

Vos commentaires sont également les bienvenus.

 

Allez, à demain les amis.

 

 

Pascal

Quelle aventure !

 

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15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 06:53

 

Bonjour à tous,

 

 

 

 

 

 

Dans la série, « le monde se divise en deux catégories », il y a une foule d’excellentes citations.

Aujourd’hui, c’est une phrase de Napoléon, citée par Francis Huster dans un (superbe) film de Claude Lelouch (1977) : « Un autre homme, une autre chance ».

 

 

 

Je l’adore, car je la trouve très juste.

En plus, ce qui est drôle, c’est qu’elle s’applique à tous les domaines de la vie :

Travail, vie privée, vie sociale, politique, etc.

 

 

 

Essayez un petit jeu fun (au bureau ou dans n’importe quel endroit où vous passerez les prochains jours) : Tentez de déterminer à quelle catégorie appartiennent vos interlocuteurs.

 

 

 

C’est très distrayant, hi hi !

 

 

 

Allez, halte au suspens, je vous la livre, c’est cadeau, ça fait plaisir !

 

 

 

Napoléon disait :

 

 

 

Dans la vie, il y a deux sortes d’hommes :

-         Ceux qui jouent le jeu

-         Ceux qui regardent le jeu

Et les emmerdements viennent toujours de ceux qui regardent… les spectateurs.

 

 

 

 

 

 

L’avantage, c’est qu’une fois qu’on n’accorde plus qu’une importance très relative aux avis des « spectateurs », la vie devient légère, légère… hi hi !

 

 

 

A consommer sans modération ;-)

 

 

 

Allez, à demain pour de nouvelles aventures.

 

 

 

Amicalement-vôtre

 

 

 

 

 

 

Pascal

Lelouch-fan

 

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13 avril 2007 5 13 /04 /avril /2007 14:57

 

Bonjour les amis,

 

 

 

Qui n’a jamais eu envie d’étrangler son patron lorsqu’il vous balance entre 18h00 et 19h00 :

« Tiens, tu pars déjà ? Tu prends ton après-midi ? »

 

Là, les envies de meurtres nous viennent à l’esprit à la vitesse de l’éclair. On sait déjà qu’on va se taper deux heures de bouchons ou de métro et qu’on va louper le début du journal de 20h00, et l’autre vachard, se croyant drôle, vous glisse une méchanceté gratuite, en prime.

 

Le plus énervant, c’est que souvent, comique de répétition oblige, il vous gratifie de sa vanne tous les jours…

 

Plus d’hésitation : réagissez !

 

Faites-lui remarquer qu’il vous répète ça systématiquement et qu’il serait judicieux de se renouveler, voire d’arrêter complètement…

 

Pour le motiver, l’idéal est de l’encourager.

 

Voici donc la pensée du jour à utiliser sans modération :

  

« La plus grande surprise que puisse faire un con, c’est de faire une pause ! » 

Phrase extraite du film « Le Moustachu » avec Jean Rochefort.

 

Résultat garanti !

(chômage aussi… remarquez ! hi hi !)

 

A demain les amis

Pascal

 

 

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