Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Toujours disponible ICI : BLADE 206 dédicacé

 

Recherche

14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 08:45

 

 155Périf Carrefour Market - Livry Gargan - 13 02 12

 

 

Bonjour les amis,

 

C’est vrai que pour trouver mes trois premiers polars, vous aviez parfois un peu de mal.

Ce qui est souvent le cas quand on démarre modestement dans l’édition.

Avec le nouveau, ce problème n’existe plus.

J’en ai fait l’expérience moi-même pas plus tard qu’hier :

Alors que je faisais mes courses dans un tout petit « Carrefour Market » de la région parisienne, je suis tombé sur ce rayon !

Pourtant le linéaire de livres n’excède pas les trois mètres dans ce supermarché !

Donc, pour répondre globalement à votre question récurrente :

« Au-delà du Périf » est disponible dans toutes les librairies, relais-H, supermarchés et hypermarchés de France.

S’il n’est pas en rayon, ce qui peut aussi arriver, tous les libraires peuvent se le procurer en deux jours.

Vous pouvez aussi le commander via le Net, sur des sites comme Fnac, Amazon, etc.

Livraison rapide garantie.

Cette fois, avec un éditeur comme Gérard de Villiers, il n’y plus de problèmes de mise en place.

C’est le moins qu’on puisse dire !

Ça fait un bien fou, vous n’avez pas idée !

Biz à tous

Pascal

Auteur trouvable !

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 10:48

 

 

 

Périf - 1+4 de Couv - 14 12 11

 

 

 

Bonjour les amis,

La sortie nationale de mon nouveau polar se fera le 03 janvier 2012.

Il fait 373 pages, au final.

Ce qui, pour 8 €, est d’un dérisoire qui me donne envie de me pendre au lustre avec le flexible de l’aspirateur !

Non, je rigole, on s’en fout !

Voici, en avant première, le résumé et la biographie qui figurent sur la quatrième de couverture.

 

Résumé :

AU-DELÀ du PÉRIF

Région parisienne, 2012. Ils sont quatre. Hier criminels défiant l’ordre, aujourd’hui équipe de l’ombre pour le compte de la justice. Christian Sainclair et Valérie, « Attila » et Maria-Carmen avaient tout pour mal finir, mais grâce au commissaire Lambrosi, ils se sont racheté une conduite.

Difficile à tenir, lorsque l’on traque les truands sans carte de police, mais c’est le prix de leur liberté…

Aussi, lorsque Lambrosi leur demande de retrouver une mallette volée à un maître-chanteur notoire, l’affaire leur semble d’abord simple.

Oui, mais la mallette est en titane.

Oui, mais elle traîne trois cadavres dans son sillage.

Oui, mais sa disparition semble inquiéter en très haut lieu.

Alors, pour le « gang Sainclair », commence une enquête qui les mènera aux quatre coins de l’Île de France, sur les traces d’un secret dont pourrait dépendre jusqu’à l’avenir de la République… 

 

L’auteur :

Pascal Candia lit San-Antonio, Voltaire et le Dobermann.

Il dévore les films de David Lynch sans pour autant renier Stallone et il écoute du Gainsbourg en fumant des menthol.

C’est en prêtant sa plume à la presse ciné qu’il a sauté dans le grand bain de l’écriture.

Côté polars, il a créé le gang Sainclair et leurs aventures aux frontières de la loi.

Un écrivain très efficace, héritier de Simenon et du roman noir américain.

Régiopolice / inédit

 

Voilà les amis, vous savez tout.

Bises et bonnes fêtes de fin d’année.

Pascal

Et de 4 !

Partager cet article
Repost0
6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 09:15

 

    Au-delà du Périf

 

 

Bonjour les amis,

Ça y est, la couverture de mon 4ème polar est finalisée.

 

J’en profite pour vous donner toutes les infos sur cette prochaine sortie.

D’abord vous êtes nombreux à me demander chez quel éditeur il sortira.

Et bien ce sera aux « Editions Sirius », nouvelle entité des éditions Gérard de Villiers.

C’est un honneur et un privilège d’entrer dans cette prestigieuse maison qui abrite des séries à succès comme SAS, Brigade Mondaine, L’exécuteur, Blade...

Mais aussi toutes les collections qui ont bercé mon adolescence comme Jag ou l’Implacable.

Pour moi qui m’inscris résolument, depuis le début, dans une littérature de divertissement, c’est l’éditeur idéal.

 

Ce sera le premier volume d’une nouvelle collection : « Régiopolice », dirigée par M. Albert Benloulou et Mme Anne Martinetti.

Le concept : 1 volume tous les 1 ou 2 mois.

A chaque fois : un auteur différent et une région différente.

Tous les genres, tous les styles seront représentés à travers une énigme positionnée dans une région, un terroir, une ville. Bref : un lieu qui sera mis en avant.

Pour ma part ce sera « l’Ile de France ».

Détails sur ce 4ème volet de la Saga Sainclair :

-          Titre : « Au-delà du Périf »

-          Sortie en janvier 2012,

-          Format : 11x19,

-          Prix : environ 8.00 €,

-          Editeur : Sirius

-          Distribution : partout en France, Suisse et Belgique

Avec un tirage à cinq chiffres, vous le trouverez en librairies, Fnac, Relais H, grandes surfaces (super et hyper), etc. puisque distribué par Hachette.

Voilà, vous savez tout, ou presque.

Je vous communiquerai prochainement le résumé de la 4ème de couverture.

Quant aux projets en cours : j’en suis à 225 pages d’un nouveau manuscrit d’Héroic Fantasy, qui paraîtra en mai 2012.

Je vous donnerai tous les détails ultérieurement.

Sachez juste que le contrat est signé depuis cet été et qu’il sortira également chez Gérard de Villiers.

Biz à tous.

Pascal

Jour J - 60

 

 

 

Partager cet article
Repost0
6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 07:45

 

Bonjour les Amis,

 

Suite à vos nombreuses demandes (et je vous remercie de tout cœur de votre fidélité !), j’ai le plaisir de vous communiquer de nouvelles informations sur la suite de la saga Sainclair.

Mon 4ème polar a été signé en juillet chez un nouvel éditeur.

 

Ça a pris du temps, mais le jeu en valait la chandelle.

J’ai l’immense privilège de faire mon entrée dans une grande maison.

Cette fois, il sortira donc en national.

 

Compte tenu d’un tirage conséquent, il sera disponible partout en librairies, Relais H et grandes surfaces.

Vous n’aurez donc aucune difficulté pour le trouver.

Son titre : « Au-delà du Périf ».

Parution : janvier 2012.

Dès le début de son écriture, j’ai souhaité le positionner comme un nouvel épisode pilote de la saga.

Ceci afin d’accueillir en toute clarté les nouveaux lecteurs qui n’auraient pas lu la première trilogie.

Cependant, il en reprend tous les fondamentaux et tous les personnages que vous connaissez déjà : le quatuor Sainclair, Attila, Valérie, Maria-Carmen et évidemment le commissaire divisionnaire Jean Lambrosi ses hommes.

 

Particularités :

Le ton y est encore plus « musclé » que dans « Danse avec les flics », vous pourrez en juger sur pièce.

Il est aussi davantage politiquement incorrect, ce qui est particulièrement jubilatoire à écrire !

En termes de taille, c’est aussi le plus volumineux de tous.

En feuilles A4, il représente tout de même 390 pages, pour plus de 502 000 signes !

En gros, ça représente 20% de plus que les deux derniers.

Je plaide coupable : je ne sais pas faire court !

Dès le mois de septembre, je vous donnerai tous les détails concernant la collection et la maison d’édition.

En complément, sachez que le 5ème m’a déjà été commandé pour une parution prévue en janvier 2013.

Entre temps, j’ai été sollicité pour intégrer une collection bien connue dans un tout autre domaine : la science-fiction.

C’est un genre que j’aime autant que le polar, tant en cinéma qu’en littérature.

Actuellement, je suis donc en pleine écriture de ce nouveau roman.

 

C’est un réel plaisir de diversifier sa plume et l’éditeur est d’ores et déjà ravi des premiers chapitres bouclés.

Ce qui est super encourageant pour se consoler d’un été studieux, loin des plages.

Je vous donne donc rendez-vous à la rentrée pour plus d’informations sur :

« Au-delà du Périf ».

 

Biz à tous.

 

Pascal

Polar/Science-fiction : même passion

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 06:58




Bonjour les amis,

 

 

Et bien ça y est !

 

Ça explique pourquoi il y avait moins d’articles sur le blog ces derniers temps.

 

Le quatrième épisode de la saga Sainclair est donc bouclé.

 

J’ai inscrit le mot « fin » au bas de la page 383.

 

C’est donc, d’un point de vue volume, le plus conséquent de la saga.

 

Le plus drôle, c’est que je l’ai fini vendredi 13 novembre.

Ce qui devrait, en toute logique cartésienne, me porter bonheur !

 

Prochaine étape : il faut compter 6 à 8 semaines pour les relectures et les diverses phases de corrections.

 

Je ne vous communique pas de titre pour l’instant, puisque c’est l’éditeur qui a le « final cut » et qu’en général, il est définitif : la veille du départ pour l’imprimerie !

 

Presque un an de travail également pour celui-ci.

Mais c’était important de le soigner, car il est positionné comme un nouvel « épisode pilote ».

Ceux qui ont lu la première trilogie savent que le destin des héros a basculé dans le 3ème opus : « Danse avec les flics ».

 

On repart donc à zéro avec cette nouvelle donne.

Les personnages ont mûri et se sont endurcis.

Leur périmètre d’action s’est élargi : on se balade dans Paris et toute l’Ile de France.

 

Tout démarre avec un triple assassinat dans un parking de la Défense.

Une mallette a été volée.

Le gang Sainclair va devoir recharger ses flingues et se mettre en chasse.

Christian, Attila et leurs compagnes vont devoir affronter une nouvelle galerie de vilains qui ne font pas dans la dentelle

 

Par exemple, ils vont rencontrer :

 

-          Un tueur misogyne avec une gueule de cauchemar, liée à un eczéma aigu.

-          Deux frangins disjonctés, tenanciers d’un bar glauque dans la zone du 9-3.

-          Un pirate informatique qui pue comme une portée de chats crevés.

-          Des politicards sans scrupules (pléonasme !)

-          Des barbouzes qui se font flinguer comme à la fête foraine.

-          Une agence de sécurité spécialisée dans les exécutions sommaires.

-          Un cul de jatte impuissant qui collectionne les grenades.

-          Une prostituée qui reprend du service « pour la bonne cause ».

-          Une nouvelle cargaison de cadavres tous frais.

-          Des dobermans dressés à tuer.

-          Une tonne de coups tordus.

 

Tout ça pour retrouver cette « putain de mallette vitale pour le gouvernement » !

 

Que contient-elle ?


Tout le monde voudrait bien le savoir !

 

Pas vous ?

 

Biz à tous et à bientôt.

 

 

 

Pascal

Et de 4 !

Partager cet article
Repost0
18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 06:19




Hello les amis,

De nombreux retours de lecteurs m’ont démontré que ce qui leur plaisait autant que les histoires, c’était les petits moments ironiques et les seconds rôles riches en « ce qui nous énerve dans la vie de tous les jours !».

Dont acte !


A titre d’exemple, voici un extrait du tome 4 de la Saga Sainclair, où Lambrosi est aux prises avec un serrurier.

Clairement visée : la caste très répandue des artisans insupportables.

Ceux qui débarquent chez vous en territoire conquis avec deux heures de retard, vous annoncent des délais et des prix faramineux et vous balancent toutes les trois minutes : « si ça vous convient pas, vous pouvez aller ailleurs, t’façon, moi, j’ai trop de boulot ! » 

Comme vous avez mis 15 jours à obtenir le rendez-vous en suppliant 4 fois au téléphone, vous vous contentez de baisser la tête avec des envies de meurtre difficiles à contenir…

Voyez le genre ?

Ça m’est arrivé tellement de fois qu’il était temps de prendre ma revanche !


Allez, en voiture :

Le commissaire Lambrosi avait été contraint de faire appel à l’irascible Olivier Penel, le serrurier agréé qui travaillait habituellement avec la brigade. Ce dernier, convoqué à 8 heures du matin rue Simart, était arrivé avec sa gueule des mauvais jours. Quand, en plus, il avait appris qu’il était là officieusement pour rendre service au divisionnaire et que la mission était confidentielle, son humeur avait carrément viré à l’exécrable. Heureusement, Jean l’avait calmé avec la promesse d’une enveloppe substantielle de cash. Penel, méfiant de nature, et encore plus avec les flics, avait alors exigé un paiement d’avance. En maudissant l’avidité de l’artisan, le divisionnaire avait négocié âprement. Après bien des palabres, il avait obtenu son forfait « ouverture et bouche cousue » pour cinq cents euros augmentés un bonus équivalent si le coffre contenait du liquide. Lambrosi n’en était toujours pas revenu.

Non seulement l’autre avait refusé de lâcher en dessous, mais il l’avait même traité de pingre ! Un comble !

En soupirant d’exaspération, il avait alors été retirer la somme au premier distributeur et avait accordé l’avance sur ces deniers personnels.

La semaine commençait bien…

Tel le grand Houdini, le serrurier avait happé et enfoui les billets dans sa poche avec une telle rapidité que le Corse se demanda si ce fric avait un jour existé. Mieux qu’une concierge un jour d’étrennes !

Satisfait, le racketteur agréé s’était alors attaqué à l’épaisse serrure du coffre en maugréant beaucoup plus modérément. En moins de trente minutes, et quelques chapelets d’injures bien senties, il en était venu à bout…


Quelques lignes plus loin :


… Le serrurier, qui n’avait absolument rien à foutre de ses états d’âmes lui tapota sur l’épaule et lui rappela leur accord d’une voix mielleuse. Le Corse, se retenant difficilement de le gifler à la volée, détacha cinq billets de cent euros et les lui tendit. Penel les fit disparaître aussi vivement que les premiers et se fendit d’un large sourire. Cette fois, ses yeux se mirent à briller et son humeur passa au beau fixe. Mille euros pour moins d’une heure de boulot, et nets d’impôt, la semaine ne commençait pas si mal que ça, en définitive…

Il était même tellement ravi, qu’il convia le policier à aller boire un Ricard pour fêter l’évènement. Epouvanté à l’idée d’aller se biturer en début de matinée avec un tel cancrelat, Jean déclina poliment et le congédia en lui rappelant sa promesse de discrétion la plus absolue. Après moult courbettes et sourires commerçants, le serrurier jura sur la tête de sa mère, de sa femme, de ses enfants et de son cocker, qu’il emporterait le secret dans sa tombe. Enfin, il finit par déguerpir en tapotant amoureusement le renflement de son portefeuille. Ce pognon-là, sa légitime n’en verrait pas le moindre centime. Elle qui lui délivrait habituellement son argent de poche avec une radinerie consommée, l’aurait dans le baba, cette fois. Ce soir, au bistrot, il allait en coller plein la vue aux copains : les tournées allaient pleuvoir dru…

 

Et voilà !

Vous savez tout !

Des « comme ça », vous en rencontrerez un paquet tout au long du bouquin…

 

Donc j’y retourne…

Biz à tous.

 

Pascal

Ligue de défense anti casse-couilles

Partager cet article
Repost0
5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 07:17




Hello les amis,



Moins d’articles sur le blog, mais mon quatrième polar avance !

Ben ouais, à un moment, il faut que je me discipline un peu !

 

Je me concentre donc à mort sur le bouquin et j’ai le plaisir de vous annoncer qu’hier, j’ai atteint la page 250 de ce nouvel opus de la saga Sainclair.


Pour vous situer, en moyenne, les précédents oscillaient entre 330 et 360 pages A4.

J’en suis donc à plus des deux tiers du roman, soit 19 chapitres bouclés.

 

Christian Sainclair, alias « l’orphelin-tueur d’Argenteuil » et Yvan Masier, alias « Attila », sont sur le pont !

Le commissaire divisionnaire Jean Lambrosi aussi, et ça ramone !

Faites-moi confiance sur ce point !


Vous retrouverez également : Valérie, Maria-Carmen et Maxime Ligiol, ainsi que toute une armée de vilains…


Mon objectif : avancer le plus possible avant la rentrée boulot de fin août.


Grâce à l’aide précieuse de « Gégé », mon premier correcteur, l’histoire est quasiment ficelée jusqu’à son terme et on a même démarré les corrections.

 

En termes de style, je vous garantis que vous allez être surpris.


Un grand monsieur de l’édition m’avait dit en septembre dernier :

« Oublie le cahier des charges de ton éditeur et écris juste en fonction de ce qui te fait plaisir ».


J’ai bien retenu la leçon et personnages et scènes y gagnent en relief.

Le maître mot de ce nouveau manuscrit, c’est : Audace !



Eloignez les enfants de l’écran avant de lire ce qu’il y a en dessous !

Ça y est, bon ! Alors je me lance :


 

Dans celui-là, en résumé on peut dire que :

-          Ça flingue, ça baise, ça pète, ça rote, ça cogne, ça arnaque, et ça fait des coups de vice dans tous les sens !



Ainsi, plus de tabous concernant :

-          Le langage familier (dans les dialogues)

-          Le sexe (j’en connais que ça réjouit déjà !)

-          L’action (presque non-stop ! comme d’hab !)

-          L’humour (très ironique et vachard)

-          La violence (pas de pitié !)

-          Le suspense ( comme disent les d’jeunes : « tu vas flipper ta race ! »)

 


Bref, que du réjouissant et du jubilatoire.


Une libraire m’a dit un truc récemment concernant la saga Sainclair, qui m’a fait vachement plaisir : elle m’a dit que mes polars étaient « pétillants » !

Ça, on ne me l’avait jamais encore dit et c’est très cool !



Autant que ce que m’a balancé un de mes collègues auteur au cours d’une des dernières dédicaces. Il venait de finir « Danse avec les flics » et m’a annoncé :

-          « J’aurais aimé l’avoir écrit ! »

Fermez le ban !


N’empêche, il reste encore du pain sur la planche et au moins deux mois de boulot à plein temps...

Donc j’y retourne…

 

Biz à tous.

Et bonnes vacances pour les chanceux qui partent !

 

Pascal

Serial writer

Partager cet article
Repost0
13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 06:16





Hello les amis,

 

Les années se suivent… et se ressemblent.

Comme l’année dernière, l’été s’annonce studieux pour votre humble serviteur.

 

Tandis que mon quatrième roman affiche gaillardement 203 pages A4 au compteur, j’ai attaqué les relectures et corrections.

 

Eh bien croyez-moi, c’est pas de la tarte, hi hi !

Je me sens comme dans la peau d’un gamin à qui on a demandé de ranger sa chambre, alors qu’il a envie d’aller jouer dehors.

 

La chambre en désordre, c’est le livre.

 

Eh oui, j’en discutais avec un ami hier :

Un roman, c’est comme une boîte de Lego.

 

Au début, on balance toutes les pièces parterre.

On construit plein de trucs avec et on se marre bien.

Et quand le moment arrive, des mois plus tard, il faut ramasser toutes les pièces, les ranger dans les encoches de plastique et surtout n’en oublier aucune sous le lit…

 

D’autant qu’au fil des mois, des morceaux de Lego, j’en ai balancé dans tous les coins.

Il y en a qui ont roulé sous les meubles et dont j’avais oublié jusqu’à leur existence.

 

Hors, dès que les corrections démarrent, on en retrouve plein.

De toutes les formes et de toutes les couleurs, perdues dans des endroits improbables.

Y’en a partout, au secours !

 

J’en suis là !

Il me reste moins d’une dizaine chapitres pour tout boucler et ne rien laisser en route.

 

Là, où je pensais que tout était sagement rangé dans la boîte déjà pleine, il faut trouver de la place pour les « miraculées ».

 

Challenge !

 

Et vous, pendant ce temps-là, peinards, vous bouclez vos valises sans vous douter de rien.

 

Prêts à rejoindre votre emplacement de camping ou  votre studette de 15 mètres carré pour 8 personnes (dans l’annonce, en tout cas !) et à entamer des combats perdus d’avance contre :

 

-          Les plages bondées où il y a tellement de serviettes étalées qu’on ne sait plus si dessous, c’est du sable ou des galets. 

-          Le serveur grincheux de la pizzeria surpeuplée qui refuse obstinément de vous apporter du pain et l’huile pimentée.

-          Les moustiques soigneusement vaccinés contre vos bombes de citronnelle périmée de l’année dernière-parce-qu’il-en-restait-on-allait-pas-la-jeter-quand-même !

-          La vendeuse de la boutique de souvenirs qui vous jure solennellement que le service à thé que vous avez choisi est issu de l’artisanat local, fait main, tandis que vous venez de découvrir sous une des tasses une minuscule étiquette « made in China ».

-          Les méduses qui ont envahi le secteur et vous empêchent de vous baigner.

-          La bande de jeunes qui a loué juste à côté de vous et écoute du  R&B et du rap à fond les gamelles, 24h/24.

-          Les coups de soleil qui, dès le troisième jour, vous contraignent à garder un pantalon et une chemise alors qu’il fait 40 degrés à l’ombre.

-          Les grandes surfaces qui profitent de l’aubaine pour passer le kilo de tomate à 5 euros et le tube de dentifrice à 3.50 !

-          Votre belle-mère qui a brusquement décidé de vous rejoindre, « parce qu’elle passe dans le coin et que ça ne lui fait qu’un détour de 450 kms. »

-          Le coupe-vent et le pull oubliés à la maison, qu’il faut racheter sur place au prix d’un costume Boss.

-          Le petit dernier qu’est soudainement devenu allergique aux fruits de mer, alors qu’avant, non !

-           Les terrasses de café où il faut faire quarante minutes de queue pour être placé près des poubelles « qui ne sont pas ramassées en ce moment à cause de la grève » !

 

En bref, des vacances superbes quoi ! hi hi !

 

Finalement, je m’en sors bien mieux avec mes Lego !

 

Nan, je rigole !

 

C’est super les vacances !

Surtout en reportage, à la téloche !

 

Biz à tous.

 

Pascal

Maîtrise en Lego appliqués

Partager cet article
Repost0
17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 06:29





Bonjour les amis,

 

Plusieurs d’entre vous m’ont demandé si un tome 4 de la « saga Sainclair » allait voir le jour.

Je confirme : oui !

Après avoir bouclé la première trilogie, la série continue.

 

A ce jour, j’ai déjà écrit plus de 130 pages, soit onze chapitres.

 

Difficile de trop vous en dire à l’avance sans déflorer le suspense, mais en gros, je peux vous livrer les éléments suivants :

On retrouvera bien entendu le tandem de choc : Christian Sainclair « l’orphelin-tueur d’Argenteuil », Yvan « Attila » Masier ». Leurs compagnes joueront aussi un rôle capital.

Mais aussi le lieutenant Maxime Ligiol, le commissaire divisionnaire Jean Lambrosi et son assistante transie d’amour, Anne Dumont.

Comme d’habitude, il y aura plusieurs intrigues en parallèle.

 


Le début :

Un triple meurtre a eu lieu au cours d’un échange dans un parking de la Défense. Un objet vital pour le gouvernement a été volé. Le ministre de l’Intérieur n’a pas l’intention de laisser faire. Il faut retrouver cet objet coûte que coûte : peu importe les dommages collatéraux…

Chantage, meurtres, politicards mouillés jusqu’au cou, règlements de comptes, expéditions punitives et beaucoup d’humour sont au programme.

 



Les personnages :

On va bien entendu se retrouver confronté à une galerie de méchants plus ou moins déjantés. En voici un petit exemple :

Seul Gus, l’aîné, avait prit un léger coup de vieux à l’approche de la quarantaine. En revanche, côté look, il n’avait toujours pas abandonné les années 80. Vêtu d’un jean sale et d’une chemise bucheron à carreaux rouges et noirs ouverte sur un t-shirt à l’effigie d’Iron Maiden, il semblait être resté scotché avec force à la période Rubik’s cube. Mais le pire était du côté de ses cheveux : noirs, gras et raides de crasse, il les portait en brosse sur le devant et exagérément longs sur la nuque. Faisant passer cette improbable tignasse riche en lipides derrière ses oreilles, il était fier d’arborer à chaque lobe un anneau d’argent au bout duquel pendait un crucifix inversé. On avait presqu’envie de lui prêter la bagnole de Mac Fly, dans « Retour vers le futur », histoire de le renvoyer en 1985 finir d’achever sa puberté. Quant à son faciès de bulldog, patiné par quelques années de boxe, il affichait en figure de proue un nez aussi large que long lui permettant de fumer sous la douche sans craindre que son mégot ne soit atteint par la moindre goutte de flotte. Avec son menton jamais rasé, son mètre quatre-vingt-cinq, et ses quatre vingt-dix kilos, c’était le prototype même de la brute qu’on redoutait de croiser la nuit dans une ruelle sombre…

 



Le style :

L’objectif : encore plus d’émotion, d’action et d’humour…

Comme à chaque nouvelle aventure, le ton monte d’un cran : langage, ton ironique, sexe, etc.

A priori, plus « je me lâche », plus ça plait !

Les lecteurs, éditeurs, auteurs et critiques qui me lisent sont unanimes sur ce sujet !

Alors, pas de complexe : je fonce !

Après tout, si je m’éclate en l’écrivant, vous devriez aussi en profiter en le lisant !

Je vous tiendrai informé régulièrement de l’avancement du projet.

 

Quant au titre : pas la moindre idée pour l’instant !

Le nom de code provisoire sera donc : Saga Sainclair tome 4 !

 

Je me tiens à votre disposition pour toutes vos questions. N’hésitez pas.

A bientôt

Biz à tous

 

Pascal

Tome 4 sur les rails !

Partager cet article
Repost0